Dans le cadre du travail de recherche du cours Éthique et politique, nous avons choisi d'analyser le dilemme moral que représente l'avortement. Pour certains, il peut s'agir d'un sujet banal dont le contenu fut maintes et maintes fois repris. Cependant, de récentes déclarations de la part d'un député ontarien concernant les droits du foetus nous poussent encore à se questionner sur la valeur morale d'un tel acte. Ce site vous présente donc notre projet de recherche sur l'avortement. Nous y traitons de l'historique, des lois, des acteurs actifs dans le débat et de bien d'autres choses, mais surtout des problèmes et des dilemmes qui s'y rattachent.
Bonjour, REPORTAGE EXCEPTIONNEL : DES FEMMES TEMOIGNENT « Un jour, j’ai avorté… tais toi et souffre ». http://reinformation.tv/avortement-femmes-temoignent-51113-2/ Je vous informe qu’Armel Joubert des Ouches, journaliste et caméraman depuis 28 ans vient d’achever la réalisation d’un documentaire sur un tabou : la souffrance silencieuse des femmes après un avortement. Des témoignages bouleversants. Bien à vous. A tous les enfants assassinés, cette chanson capable de faire pleurer même les pierres. Ames (trop) sensibles,s'abstenir. Cet enfant assassiné qui criait son envie de vivre à sa maman Un drame quotidien qui détruit l’amour et la vie. A écouter et à faire connaitre. http://www.medias-presse.info/cet-enfant-assassine-qui-criait-son-envie-de-vivre-a-sa-maman/29799 1 – Je n’vous avais rien demandé Vous les deux apprentis sorciers Qui avez joué à faire ma vie Fragile étoile dans la nuit Premier instant mon premier jour Conçu de ce surcroit d’amour Quand, l’un en l’autre vous donnant M’avez permis d’etre un enfant Et mon coeur si chaud si petit A soudain explosé de vie Dans ce ventre plein de lumière Où mon silence s’est fait chair Refrain 1 Je suis le fruit de vos entrailles A l’aube de mon premier jour Je suis l’épi de vos semailles Et le plein chant de vos amours Je ne suis pas un accident Je ne suis pas un theorème Que l’on rejette ou que l’on prend Je suis le fruit de vos « je t’aime » 2 – Et loin des regards indiscrets Tout doucement je grandissais C’est tout ce que j’avais à faire A l’abri des crocs de l’hiver Je profitais dans mon enceinte De vos amoureuses étreintes Que se prodiguent les amants Dès que monte en eux le printemps Fort du miel de votre tendresse Ivre du vin de vos caresses Comment pouvais-je imaginer Que sur un gouffre je dansais ? 3 – Je ne sais ce qui s’est passé D’un seul coup tout a chaviré Elle est venue en blouse blanche Avec sa loi, avec sa science La mort, la mort m’a arraché Ecartelé, déchiqueté Me précipitant dans l’oubli Comme une honteuse maladie Mais moi, pourtant je vous aimais Je n’venais pas vous déranger J’voulais juste être votre joie Vous dire un jour : « Maman ! Papa ! » Dernier refrain : J’étais le fruit de vos entrailles Et je le resterai toujours J’étais l’épi de vos semailles Et le plein chant de vos amours Et du Royaume des vivants Ni accident, ni théorème Je vous offre dès maintenant Mon pardon et mes « je vous aime » Partager : E-mailImprimerFacebook81Twitter5GoogleTumblrLinkedInPlus SACRALITE GAUCHISTE ET AVORTEMENT La France européiste de la sacralité gauchiste et ses prés carrés intouchables. A savoir, l’immigrationnisme, la médiacratie idéologique et... les assassinats abortifs, etc. L’excellence de sa justice (???), l'écoeurante permissivité homicide de ses crimes néonataux et, aujourd'hui bien établies, ses solidarités journalistiques psycho-pathologiques ? Par exemple, entendu hier sur une chaîne TV, cette info un peu spéciale où un simple appel à la pétition contre la barbarie infanticide devient : « Un mouvement (on ne précise pas lequel) qui veut culpabiliser les femmes qui veulent avorter ». Or, de quel Mouvement s’agit-il ? Tout simplement de celui-ci : http://citizengo.org/fr/13818-condamnation-des-infanticides-neonataux, qui organise une pétition contre l’assassinat de bébés déjà formés et viables. Ce qui ne leur épargne pas d’être jetés vivants (10%) au milieu des déchets biologiques. Comme un simple rebus ?... Oui ! Voilà le genre de traitement médiatique appliqué par la plupart des laïusseurs de la médiacratie actuelle, qui confondent information et déréalisation psychotique. Leur mot d’ordre ? Ne pas culpabiliser... Du coup, les psychopathes de la planète peuvent dormir tranquilles ! Question : serait-ce là la nouvelle fonction journalatrine de la presse actuelle, composée de près de 80% de délirants paranoïdes déguisés en porte-voix des marxo-socialistes ? Alors ?... Pravda ?... Information pathologique ?... Complicité d’assassinat ?... Sans doute les trois ensemble ! Je confirme le message de Docetta : Limiter l'avortement à une seule fois? Au final,je me permets de rajouter cela : une femme a la capacité de faire des enfants, ce n'est pas parce qu'on en a la capacité qu'on aime les enfants, qu'on veut des enfants, et qu'on est mal si on n'en a pas. La seule chose qui perturbe une femme qui ne veut pas d'enfant, c'est le regard accusateur d'une société qui n'accepte pas que notre génération puisse avoir ce choix alors que la génération précédente a été obligée d'assumer ! Votre dernier chapitre, "Notre opinion" rejette totalement la liberté des femmes à choisir en disant qu'elles doivent payer pour cette intervention au même titre qu'un intervention esthétique... On exclus donc toutes les femmes pauvres de ce droit. Pas fort!Vous aimez ce site ? Partagez-le avec vos amis !
Messages du livre d'or
Par Jean François Primaudière le 11/02/2016
Par Thierry Theller le 24/04/2015
in Culture / by Xavier Celtillos / on 19 avril 2015 at 22 h 29 min /Par Thierry Theller le 27/11/2014
Par bzzz le 30/08/2014
Une femme pauvre n'a plus qu'à s'en remettre au cintre de son placard? On rajoute donc la détresse financière (c'est pas facile d'élever un enfant qu'on aime et qu'on a désiré quand on a suffisamment d'argent, alors, quand on en a pas?) à la détresse psychologique ?
Parce que, oui, ca peut peut-être vous étonner, mais avoir un enfant qu'on ne désire pas, ca pousse à la détresse psychologique, à l'infanticide, et au suicide....
J'imagine que dans votre idée, ils 'agit de "responsabiliser" en gros, on a le droit de "se tromper" une fois... mais si on se trompe une fois et que le contraceptif ne fonctionne pas la seconde, paf, dans la poire... ou si on se trompe la première fois et que monsieur se barre la seconde, on élèvera toute seule son rejeton?
vous parlez de conséquences psychologique de l'IVG? Connaissez vous celles d'une grossesse à terme d'un enfant non désiré? Savez-vous ce que cela peut faire de se sentir hai par ses parents? Savez vous ce que ce la peut faire de s'entendre dire "tu as gaché ma vie?" ou meme encore pire, de ne pas l'entendre? Savez vous ce que ca peut faire, d'avoir une mère suicidée parce qu'elle ne voulait pas de vous? non...
Alors les conséquences de l'IVG, que vous supposez mauvaises pour les femmes, sans LEUR poser la question, parce que celles qui vivent bien leur IVG ne peuvent simplement pas en parler sans être taxées d'irresponsables, vous devriez vous intéresser à celles qui ont fait le choix de ne pas avoir d'enfant et qui en sont pleinement satisfaites sans les juger !Par Docetta le 13/06/2013
Ecrire un message